Catégorie : Arts & Loisirs

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Sarkozy: vacances royales à Marrakech

Le Canard enchainé détaille les vacances de la famille Sarkozy, à Marrakech, sur invitation du roi Mohammed VI.

« Un palais royal pour Sarko le modeste », c’est ainsi que sont décrites les vacances de Noël de la famille Sarkozy, sur invitation du roi du Maroc en personne, selon le Canard enchainé. Le journal révèle en effet que l’ex-président français et actuel chef du parti de droite; « Les Républicains », a été reçu par « son royal ami Mohammed VI » au sein d’un palais à Marrakech. Selon le journal « la famille Sarkozy aurait en premier lieu rejoint le Maroc à bord d’un appareil « portant le blason du roi du Maroc », à partir de l’aéroport du Bourget, près de Paris.

Ce séjour a été révélé grâce aux indiscrétions du fils de Nicolas Sarkozy, Louis, très actif sur Twitter, et de sa petite amie. « Pour épater les amis, ils ont posté quelques photos de leur Noël sous le soleil de Marrakech. Entre une balade en dromadaire et une pose devant une bâtisse du cru, les deux tourtereaux ont été, semble-t-il, particulièrement impressionnés par la piscine du pied-à-terre royal » explique ainsi le journal.

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L’Arabie saoudite: un poète condamné à mort

Le poète palestinien Ashraf Fayad a été condamné à mort, pour « apostasie ». Le régime lui reproche d’avoir tenu des propos contre Dieu et contre le royaume. Une accusation qui repose sur un témoignage unique.

Le poète avait déjà été détenu en 2013, pour blasphème. Relâché le lendemain, Ashraf Fayad avait de nouveau été arrêté en janvier 2014. Cette fois-ci, il avait passé 27 jours au poste avant de se retrouver en prison.

En 2014, il est alors condamné à quatre ans de prison et 800 coups de fouet en première instance après une plainte provenant d’un groupe de discussion culturel dans un café d’Abha (sud-ouest). Un homme affirmait alors l’avoir entendu tenir des propos contre Dieu, tandis qu’un religieux l’accusait de « blasphème » dans un recueil de poèmes que le Palestinien a écrit il y a 10 ans.

Lors du premier procès, Ashraf Fayad avait démenti que son ouvrage soit « blasphématoire », mais s’était quand même excusé. La cour n’avait alors « pas voulu le condamner à mort ».

Mais, selon l’ONG Human Right Watch, un autre tribunal est donc revenu sur cette décision, jugeant que « le repentir, c’est pour Dieu ». Privé de carte d’identité, le poète n’a pu bénéficier de l’aide d’un avocat pour se défendre.

Pour Ashraf Fayadh, cette condamnation vient après de nombreux problèmes rencontrés avec la police religieuse. Pour ces amis, qui avaient alors lancé une page de soutien, la police religieuse n’ayant trouvé aucune trace « d’incitation à l’athéisme » dans ses poèmes, elle l’avait poursuivi pour avoir fumé et pour arborer des longs cheveux. Cette décision, selon ses défenseurs, est politique. Sachant que le pays soutien à coup de milliards le putsch en Égypte, qui considère les Palestiniens comme des terroristes.

L’Arabie saoudite où les libertés sont muselées et la religion domine. Elle figure en  164e position sur 180 au classement mondial de la liberté de la presse, établi par RSF en 2015.

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Deux Belges morts dans les attentats de Paris

Deux Belges (au moins) seraient morts dans les attentats de Paris, selon des propos rapportés par le ministre belge des Affaires étrangères, Didier Reynders, à la RTBF.

La presse parle de deux Liégeois, Milko Jozic et Elif Dogan (photo publiée dans la presse), qui ont perdu la vie dans les attentats. Ils logeaient à proximité du Bataclan. Leurs proches étaient sans nouvelle d’eux malgré les appels incessants lancés depuis ce vendredi soir.

L’ex compagne et la fille de Milko n’étaient toujours pas parvenus à les joindre le samedi. Elif Dogan ne se serait par ailleurs pas présentée à un rendez-vous de travail ce jour tandis que Milko n’a pas pris l’avion qu’il devait prendre à 10 h. Ce dernier a envoyé un SMS à un ami liégeois une demi-heure avant les fusillades… cette même personne lui aurait répondu mais n’a jamais eu de réponse.

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Le gouverneur de la province de Taourirt relevé de ses fonctions pour "faute professionnelle grave"

Dans une déclaration à la chaine de Télévision « Al Aoula », le ministre de l’Intérieur Mohammed Hassad a indiqué que le conseiller du Parti de la justice et développement (PJD) nouvellement élu au Conseil préfectoral de Taourirt, Hmida Mahjoubi, « a demandé et obtenu une forte escorte par les services de sécurité, à savoir la Police, la Gendarmerie Royale et les Forces Auxiliaires, pour le conduire de Taourirt à Oujda ».

 

« Cet élu du Parti de la justice et du développement (PJD) a prétendu faire l’objet de harcèlements de la part d’autres élus », a expliqué Hassad, ajoutant que « la forte escorte ainsi mobilisée constitue un abus flagrant de la part de cet élu et une faute professionnelle grave de la part du gouverneur de la province ».

 

En conséquence, a-t-il dit, « le gouverneur de la province a été relevé de ses fonctions et les agents des services de sécurité concernés ont été sévèrement sanctionnés ».

 

Le ministre a rappelé que des instructions ont été données aux autorités locales et aux services de sécurité pour « n’entreprendre aucune action qui peut être interprétée comme un soutien direct ou indirect à une formation politique ou à un candidat ».

 

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Ibtissam Tiskat élue star arabe la plus sexy

Ibtissam Tiskat a de quoi faire des jalouses. Elle vient d’être proclamée star la plus sexy du monde arabe, à l’occasion du «Worldwide Sexiest Star of 2015», un concours organisé chaque année par la Fox Middle East.

Une belle récompense pour la chanteuse marocaine de 22 ans, ex-candidate d’Arab Idol et de Star Academy 2014. D’autant plus qu’elle semble enchaîner les succès… Dernier en date, son tube «Weli liya» (Reviens-moi!), en duo avec le rappeur Two Tone, qui a totalisé plus de deux millions de vues en moins d’un mois. 

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Loubna Abidar en compagnie de la ministre de la Culture française au Festival d'Angoulême

Loubna n’a jamais autant assumé son rôle dans le film « Much Loved », quelques jours après la sortie du cheikh salafiste Mohamed El Fizazi. Ce dernier avait prétendu avoir reçu un appel téléphonique de l’actrice, disant qu’elle regrettait avoir joué dans le long-métrage de Nabil Ayouch et qu’elle s’était repentie. 

 

En effet, à l’occasion de la huitième édition du Festival du film francophone d’Angoulême, dans lequel le long-métrage « Much Loved », en compétition, a été projeté samedi 29 août, Loubna Abidar, présente à l’évènement, a posé aux côtés de la ministre de la Culture française, Fleur Pellerin. 

 

Organisé du 25 au 30 août en France, l’évènement a réuni cette année, une belle brochette de personnalités de monde du cinéma, mais aussi des politiques. Il propose une cinquantaine de films, venus de France, Belgique, Luxembourg, Québec, Maroc…

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Loubna Abidar en compagnie de la ministre de la Culture française au Festival d'Angoulême

Loubna n’a jamais autant assumé son rôle dans le film « Much Loved », quelques jours après la sortie du cheikh salafiste Mohamed El Fizazi. Ce dernier avait prétendu avoir reçu un appel téléphonique de l’actrice, disant qu’elle regrettait avoir joué dans le long-métrage de Nabil Ayouch et qu’elle s’était repentie. 

 

En effet, à l’occasion de la huitième édition du Festival du film francophone d’Angoulême, dans lequel le long-métrage « Much Loved », en compétition, a été projeté samedi 29 août, Loubna Abidar, présente à l’évènement, a posé aux côtés de la ministre de la Culture française, Fleur Pellerin. 

 

Organisé du 25 au 30 août en France, l’évènement a réuni cette année, une belle brochette de personnalités de monde du cinéma, mais aussi des politiques. Il propose une cinquantaine de films, venus de France, Belgique, Luxembourg, Québec, Maroc…

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Loubna Abidar en compagnie de la ministre de la Culture française au Festival d'Angoulême

Loubna n’a jamais autant assumé son rôle dans le film « Much Loved », quelques jours après la sortie du cheikh salafiste Mohamed El Fizazi. Ce dernier avait prétendu avoir reçu un appel téléphonique de l’actrice, disant qu’elle regrettait avoir joué dans le long-métrage de Nabil Ayouch et qu’elle s’était repentie. 

 

En effet, à l’occasion de la huitième édition du Festival du film francophone d’Angoulême, dans lequel le long-métrage « Much Loved », en compétition, a été projeté samedi 29 août, Loubna Abidar, présente à l’évènement, a posé aux côtés de la ministre de la Culture française, Fleur Pellerin. 

 

Organisé du 25 au 30 août en France, l’évènement a réuni cette année, une belle brochette de personnalités de monde du cinéma, mais aussi des politiques. Il propose une cinquantaine de films, venus de France, Belgique, Luxembourg, Québec, Maroc…

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Non, Nabil Ayouch n'a pas embrassé Loubna Abidar!

La photo a fait le tour du Web. On y voit Nabil Ayouch embrassant une femme sur la bouche. Jusque-là tout va bien. Seul bémol : la légende de la photo de l’AFP indiquait que la femme en question était l’actrice principale de « Much Loved », Loubna Abidar « après la cérémonie du Festival d’Angoulême où elle a été nommée meilleure actrice ».
En réalité, il s’agissait de l’épouse du réalisateur marocain qui n’est autre que Meriem Touzani.

Si l’agence de presse française a réctifié son erreur, mercredi 9 septembre, certains détracteurs n’ont pas manqué d’insulter les deux individus sur les réseaux sociaux, ravivant une polémique qui commençait à peine à se dissiper…
 

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Diapo. Dar America présente son nouveau directeur