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Cinéma

Le Maroc serait coupable ! (C’est ce qu’ils disent !)

Le corporatisme des journalistes crée une faille dans la déontologie. Ainsi, alors que tout accable et accuse Eric Laurent et Catherine Graciet, condamnés le 4 septembre par l’Observatoire de la déontologie de l’information, voilà que des confrères viennent étrangement à leur secours, pas de façon directe mais en passant par le canal bien connu du dénigrement. Ils insinuent au fond que c’est le Maroc qui serait coupable « vus ses antécédents » et que par ce procès, « il intimide les journalistes désireux de critiquer le Maroc ». C’est ainsi depuis des décennies. Il n’y a rien à faire. Le Maroc n’est pas aimé. Mais ce pays ne demande pas à être aimé, simplement à être respecté et traité objectivement. Or dans des articles récents sur cette affaire scandaleuse, les attaques contre le Maroc se font de manière fielleuse semant le doute au point où l’on inverse la situation : de victime, l’Etat marocain passe au banc des accusés. C’est l’histoire de l’agresseur qui se précipite chez le cadi pour déposer plainte contre celui qu’il vient d’agresser et se fait passer pour la vraie victime. Le monde à l’envers.

 

Y en a marre ! Cela dure depuis longtemps. Les citoyens marocains sont assez adultes et libres pour critiquer le gouvernement et dire ce qui ne va pas dans le pays. La société civile, la presse en arabe et en français, sur papier ou sur toile, les intellectuels, les élus sont au fond sévères avec le Maroc. C’est normal et sain. Sans critique, sans opposition, pas de démocratie.

 

Cela, des journalistes étrangers dont la vue est brouillée par une grande quantité de préjugés et de clichés, ne veulent pas le savoir ni le reconnaître. Qu’importe. Mais quand deux individus ont fait des aveux sans ambiguïté et qu’ils ont reconnu les faits, l’un en parlant de sa femme gravement malade, l’autre en évoquant son espoir d’acheter des chevaux, certains de leurs confrères cherchent à les disculper d’une manière où la déontologie est largement sacrifiée. Il fallait s’y attendre.

 

Plus le Maroc avance, plus ses ennemis cherchent à lui nuire. Tous les diplomates sérieux le savent et certains le disent : Il existe un lobby anti-marocain assez puissant, bien financé et surtout dissimulé dans des fonctions banales. Ce lobby n’est pas composé que de mercenaires étrangers. On suppose que quelques Marocains y travaillent. Le fait que le Maroc réussit presque tous les mois  à démanteler des réseaux terroristes, le fait aussi que ni Al Qaeda ni Daech n’ont réussi à s’y implanter et à causer le malheur, le fait que ce pays est stable et avance sur la voie de la démocratie (voir les dernières élections locales et régionales, dont personne n’a nié la transparence), le fait qu’il constitue une exception dans le monde arabe, énerve et enrage ses ennemis.

 

J’ai fait ma petite enquête. Le Seuil a signé un contrat avec les deux individus sans qu’ils aient remis ne serait-ce qu’un feuillet écrit, sorte de synopsis. Vu les ventes de leur dernier livre « Le roi prédateur », (d’après Le Seuil, 60 000 exemplaires en comptant aussi l’édition de poche), l’éditeur leur aurait fait confiance. En fait, ils n’ont jamais rien écrit. Ils n’ont produit aucun texte. Le livre dont ils parlent est virtuel. Ils ont reçu de l’éditeur une avance de 40 000 Euros et devaient remettre le texte avant la fin de l’année. Au lieu de l’écrire,  ils ont opté pour un autre métier, une autre façon de faire que je ne qualifierai pas par indulgence.

 

Reste la justice. Elle est lente et complexe. Faisons lui confiance et espérons qu’elle restera sourde à ces bruits et insinuations visant à semer le trouble et à inverser les choses.

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Le Maroc serait coupable ! (C’est ce qu’ils disent !)

Le corporatisme des journalistes crée une faille dans la déontologie. Ainsi, alors que tout accable et accuse Eric Laurent et Catherine Graciet, condamnés le 4 septembre par l’Observatoire de la déontologie de l’information, voilà que des confrères viennent étrangement à leur secours, pas de façon directe mais en passant par le canal bien connu du dénigrement. Ils insinuent au fond que c’est le Maroc qui serait coupable « vus ses antécédents » et que par ce procès, « il intimide les journalistes désireux de critiquer le Maroc ». C’est ainsi depuis des décennies. Il n’y a rien à faire. Le Maroc n’est pas aimé. Mais ce pays ne demande pas à être aimé, simplement à être respecté et traité objectivement. Or dans des articles récents sur cette affaire scandaleuse, les attaques contre le Maroc se font de manière fielleuse semant le doute au point où l’on inverse la situation : de victime, l’Etat marocain passe au banc des accusés. C’est l’histoire de l’agresseur qui se précipite chez le cadi pour déposer plainte contre celui qu’il vient d’agresser et se fait passer pour la vraie victime. Le monde à l’envers.

 

Y en a marre ! Cela dure depuis longtemps. Les citoyens marocains sont assez adultes et libres pour critiquer le gouvernement et dire ce qui ne va pas dans le pays. La société civile, la presse en arabe et en français, sur papier ou sur toile, les intellectuels, les élus sont au fond sévères avec le Maroc. C’est normal et sain. Sans critique, sans opposition, pas de démocratie.

 

Cela, des journalistes étrangers dont la vue est brouillée par une grande quantité de préjugés et de clichés, ne veulent pas le savoir ni le reconnaître. Qu’importe. Mais quand deux individus ont fait des aveux sans ambiguïté et qu’ils ont reconnu les faits, l’un en parlant de sa femme gravement malade, l’autre en évoquant son espoir d’acheter des chevaux, certains de leurs confrères cherchent à les disculper d’une manière où la déontologie est largement sacrifiée. Il fallait s’y attendre.

 

Plus le Maroc avance, plus ses ennemis cherchent à lui nuire. Tous les diplomates sérieux le savent et certains le disent : Il existe un lobby anti-marocain assez puissant, bien financé et surtout dissimulé dans des fonctions banales. Ce lobby n’est pas composé que de mercenaires étrangers. On suppose que quelques Marocains y travaillent. Le fait que le Maroc réussit presque tous les mois  à démanteler des réseaux terroristes, le fait aussi que ni Al Qaeda ni Daech n’ont réussi à s’y implanter et à causer le malheur, le fait que ce pays est stable et avance sur la voie de la démocratie (voir les dernières élections locales et régionales, dont personne n’a nié la transparence), le fait qu’il constitue une exception dans le monde arabe, énerve et enrage ses ennemis.

 

J’ai fait ma petite enquête. Le Seuil a signé un contrat avec les deux individus sans qu’ils aient remis ne serait-ce qu’un feuillet écrit, sorte de synopsis. Vu les ventes de leur dernier livre « Le roi prédateur », (d’après Le Seuil, 60 000 exemplaires en comptant aussi l’édition de poche), l’éditeur leur aurait fait confiance. En fait, ils n’ont jamais rien écrit. Ils n’ont produit aucun texte. Le livre dont ils parlent est virtuel. Ils ont reçu de l’éditeur une avance de 40 000 Euros et devaient remettre le texte avant la fin de l’année. Au lieu de l’écrire,  ils ont opté pour un autre métier, une autre façon de faire que je ne qualifierai pas par indulgence.

 

Reste la justice. Elle est lente et complexe. Faisons lui confiance et espérons qu’elle restera sourde à ces bruits et insinuations visant à semer le trouble et à inverser les choses.

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Le corporatisme des journalistes crée une faille dans la déontologie. Ainsi, alors que tout accable et accuse Eric Laurent et Catherine Graciet, condamnés le 4 septembre par l’Observatoire de la déontologie de l’information, voilà que des confrères viennent étrangement à leur secours, pas de façon directe mais en passant par le canal bien connu du dénigrement. Ils insinuent au fond que c’est le Maroc qui serait coupable « vus ses antécédents » et que par ce procès, « il intimide les journalistes désireux de critiquer le Maroc ». C’est ainsi depuis des décennies. Il n’y a rien à faire. Le Maroc n’est pas aimé. Mais ce pays ne demande pas à être aimé, simplement à être respecté et traité objectivement. Or dans des articles récents sur cette affaire scandaleuse, les attaques contre le Maroc se font de manière fielleuse semant le doute au point où l’on inverse la situation : de victime, l’Etat marocain passe au banc des accusés. C’est l’histoire de l’agresseur qui se précipite chez le cadi pour déposer plainte contre celui qu’il vient d’agresser et se fait passer pour la vraie victime. Le monde à l’envers.

 

Y en a marre ! Cela dure depuis longtemps. Les citoyens marocains sont assez adultes et libres pour critiquer le gouvernement et dire ce qui ne va pas dans le pays. La société civile, la presse en arabe et en français, sur papier ou sur toile, les intellectuels, les élus sont au fond sévères avec le Maroc. C’est normal et sain. Sans critique, sans opposition, pas de démocratie.

 

Cela, des journalistes étrangers dont la vue est brouillée par une grande quantité de préjugés et de clichés, ne veulent pas le savoir ni le reconnaître. Qu’importe. Mais quand deux individus ont fait des aveux sans ambiguïté et qu’ils ont reconnu les faits, l’un en parlant de sa femme gravement malade, l’autre en évoquant son espoir d’acheter des chevaux, certains de leurs confrères cherchent à les disculper d’une manière où la déontologie est largement sacrifiée. Il fallait s’y attendre.

 

Plus le Maroc avance, plus ses ennemis cherchent à lui nuire. Tous les diplomates sérieux le savent et certains le disent : Il existe un lobby anti-marocain assez puissant, bien financé et surtout dissimulé dans des fonctions banales. Ce lobby n’est pas composé que de mercenaires étrangers. On suppose que quelques Marocains y travaillent. Le fait que le Maroc réussit presque tous les mois  à démanteler des réseaux terroristes, le fait aussi que ni Al Qaeda ni Daech n’ont réussi à s’y implanter et à causer le malheur, le fait que ce pays est stable et avance sur la voie de la démocratie (voir les dernières élections locales et régionales, dont personne n’a nié la transparence), le fait qu’il constitue une exception dans le monde arabe, énerve et enrage ses ennemis.

 

J’ai fait ma petite enquête. Le Seuil a signé un contrat avec les deux individus sans qu’ils aient remis ne serait-ce qu’un feuillet écrit, sorte de synopsis. Vu les ventes de leur dernier livre « Le roi prédateur », (d’après Le Seuil, 60 000 exemplaires en comptant aussi l’édition de poche), l’éditeur leur aurait fait confiance. En fait, ils n’ont jamais rien écrit. Ils n’ont produit aucun texte. Le livre dont ils parlent est virtuel. Ils ont reçu de l’éditeur une avance de 40 000 Euros et devaient remettre le texte avant la fin de l’année. Au lieu de l’écrire,  ils ont opté pour un autre métier, une autre façon de faire que je ne qualifierai pas par indulgence.

 

Reste la justice. Elle est lente et complexe. Faisons lui confiance et espérons qu’elle restera sourde à ces bruits et insinuations visant à semer le trouble et à inverser les choses.

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Le corporatisme des journalistes crée une faille dans la déontologie. Ainsi, alors que tout accable et accuse Eric Laurent et Catherine Graciet, condamnés le 4 septembre par l’Observatoire de la déontologie de l’information, voilà que des confrères viennent étrangement à leur secours, pas de façon directe mais en passant par le canal bien connu du dénigrement. Ils insinuent au fond que c’est le Maroc qui serait coupable « vus ses antécédents » et que par ce procès, « il intimide les journalistes désireux de critiquer le Maroc ». C’est ainsi depuis des décennies. Il n’y a rien à faire. Le Maroc n’est pas aimé. Mais ce pays ne demande pas à être aimé, simplement à être respecté et traité objectivement. Or dans des articles récents sur cette affaire scandaleuse, les attaques contre le Maroc se font de manière fielleuse semant le doute au point où l’on inverse la situation : de victime, l’Etat marocain passe au banc des accusés. C’est l’histoire de l’agresseur qui se précipite chez le cadi pour déposer plainte contre celui qu’il vient d’agresser et se fait passer pour la vraie victime. Le monde à l’envers.

 

Y en a marre ! Cela dure depuis longtemps. Les citoyens marocains sont assez adultes et libres pour critiquer le gouvernement et dire ce qui ne va pas dans le pays. La société civile, la presse en arabe et en français, sur papier ou sur toile, les intellectuels, les élus sont au fond sévères avec le Maroc. C’est normal et sain. Sans critique, sans opposition, pas de démocratie.

 

Cela, des journalistes étrangers dont la vue est brouillée par une grande quantité de préjugés et de clichés, ne veulent pas le savoir ni le reconnaître. Qu’importe. Mais quand deux individus ont fait des aveux sans ambiguïté et qu’ils ont reconnu les faits, l’un en parlant de sa femme gravement malade, l’autre en évoquant son espoir d’acheter des chevaux, certains de leurs confrères cherchent à les disculper d’une manière où la déontologie est largement sacrifiée. Il fallait s’y attendre.

 

Plus le Maroc avance, plus ses ennemis cherchent à lui nuire. Tous les diplomates sérieux le savent et certains le disent : Il existe un lobby anti-marocain assez puissant, bien financé et surtout dissimulé dans des fonctions banales. Ce lobby n’est pas composé que de mercenaires étrangers. On suppose que quelques Marocains y travaillent. Le fait que le Maroc réussit presque tous les mois  à démanteler des réseaux terroristes, le fait aussi que ni Al Qaeda ni Daech n’ont réussi à s’y implanter et à causer le malheur, le fait que ce pays est stable et avance sur la voie de la démocratie (voir les dernières élections locales et régionales, dont personne n’a nié la transparence), le fait qu’il constitue une exception dans le monde arabe, énerve et enrage ses ennemis.

 

J’ai fait ma petite enquête. Le Seuil a signé un contrat avec les deux individus sans qu’ils aient remis ne serait-ce qu’un feuillet écrit, sorte de synopsis. Vu les ventes de leur dernier livre « Le roi prédateur », (d’après Le Seuil, 60 000 exemplaires en comptant aussi l’édition de poche), l’éditeur leur aurait fait confiance. En fait, ils n’ont jamais rien écrit. Ils n’ont produit aucun texte. Le livre dont ils parlent est virtuel. Ils ont reçu de l’éditeur une avance de 40 000 Euros et devaient remettre le texte avant la fin de l’année. Au lieu de l’écrire,  ils ont opté pour un autre métier, une autre façon de faire que je ne qualifierai pas par indulgence.

 

Reste la justice. Elle est lente et complexe. Faisons lui confiance et espérons qu’elle restera sourde à ces bruits et insinuations visant à semer le trouble et à inverser les choses.

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Le corporatisme des journalistes crée une faille dans la déontologie. Ainsi, alors que tout accable et accuse Eric Laurent et Catherine Graciet, condamnés le 4 septembre par l’Observatoire de la déontologie de l’information, voilà que des confrères viennent étrangement à leur secours, pas de façon directe mais en passant par le canal bien connu du dénigrement. Ils insinuent au fond que c’est le Maroc qui serait coupable « vus ses antécédents » et que par ce procès, « il intimide les journalistes désireux de critiquer le Maroc ». C’est ainsi depuis des décennies. Il n’y a rien à faire. Le Maroc n’est pas aimé. Mais ce pays ne demande pas à être aimé, simplement à être respecté et traité objectivement. Or dans des articles récents sur cette affaire scandaleuse, les attaques contre le Maroc se font de manière fielleuse semant le doute au point où l’on inverse la situation : de victime, l’Etat marocain passe au banc des accusés. C’est l’histoire de l’agresseur qui se précipite chez le cadi pour déposer plainte contre celui qu’il vient d’agresser et se fait passer pour la vraie victime. Le monde à l’envers.

 

Y en a marre ! Cela dure depuis longtemps. Les citoyens marocains sont assez adultes et libres pour critiquer le gouvernement et dire ce qui ne va pas dans le pays. La société civile, la presse en arabe et en français, sur papier ou sur toile, les intellectuels, les élus sont au fond sévères avec le Maroc. C’est normal et sain. Sans critique, sans opposition, pas de démocratie.

 

Cela, des journalistes étrangers dont la vue est brouillée par une grande quantité de préjugés et de clichés, ne veulent pas le savoir ni le reconnaître. Qu’importe. Mais quand deux individus ont fait des aveux sans ambiguïté et qu’ils ont reconnu les faits, l’un en parlant de sa femme gravement malade, l’autre en évoquant son espoir d’acheter des chevaux, certains de leurs confrères cherchent à les disculper d’une manière où la déontologie est largement sacrifiée. Il fallait s’y attendre.

 

Plus le Maroc avance, plus ses ennemis cherchent à lui nuire. Tous les diplomates sérieux le savent et certains le disent : Il existe un lobby anti-marocain assez puissant, bien financé et surtout dissimulé dans des fonctions banales. Ce lobby n’est pas composé que de mercenaires étrangers. On suppose que quelques Marocains y travaillent. Le fait que le Maroc réussit presque tous les mois  à démanteler des réseaux terroristes, le fait aussi que ni Al Qaeda ni Daech n’ont réussi à s’y implanter et à causer le malheur, le fait que ce pays est stable et avance sur la voie de la démocratie (voir les dernières élections locales et régionales, dont personne n’a nié la transparence), le fait qu’il constitue une exception dans le monde arabe, énerve et enrage ses ennemis.

 

J’ai fait ma petite enquête. Le Seuil a signé un contrat avec les deux individus sans qu’ils aient remis ne serait-ce qu’un feuillet écrit, sorte de synopsis. Vu les ventes de leur dernier livre « Le roi prédateur », (d’après Le Seuil, 60 000 exemplaires en comptant aussi l’édition de poche), l’éditeur leur aurait fait confiance. En fait, ils n’ont jamais rien écrit. Ils n’ont produit aucun texte. Le livre dont ils parlent est virtuel. Ils ont reçu de l’éditeur une avance de 40 000 Euros et devaient remettre le texte avant la fin de l’année. Au lieu de l’écrire,  ils ont opté pour un autre métier, une autre façon de faire que je ne qualifierai pas par indulgence.

 

Reste la justice. Elle est lente et complexe. Faisons lui confiance et espérons qu’elle restera sourde à ces bruits et insinuations visant à semer le trouble et à inverser les choses.

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Le corporatisme des journalistes crée une faille dans la déontologie. Ainsi, alors que tout accable et accuse Eric Laurent et Catherine Graciet, condamnés le 4 septembre par l’Observatoire de la déontologie de l’information, voilà que des confrères viennent étrangement à leur secours, pas de façon directe mais en passant par le canal bien connu du dénigrement. Ils insinuent au fond que c’est le Maroc qui serait coupable « vus ses antécédents » et que par ce procès, « il intimide les journalistes désireux de critiquer le Maroc ». C’est ainsi depuis des décennies. Il n’y a rien à faire. Le Maroc n’est pas aimé. Mais ce pays ne demande pas à être aimé, simplement à être respecté et traité objectivement. Or dans des articles récents sur cette affaire scandaleuse, les attaques contre le Maroc se font de manière fielleuse semant le doute au point où l’on inverse la situation : de victime, l’Etat marocain passe au banc des accusés. C’est l’histoire de l’agresseur qui se précipite chez le cadi pour déposer plainte contre celui qu’il vient d’agresser et se fait passer pour la vraie victime. Le monde à l’envers.

 

Y en a marre ! Cela dure depuis longtemps. Les citoyens marocains sont assez adultes et libres pour critiquer le gouvernement et dire ce qui ne va pas dans le pays. La société civile, la presse en arabe et en français, sur papier ou sur toile, les intellectuels, les élus sont au fond sévères avec le Maroc. C’est normal et sain. Sans critique, sans opposition, pas de démocratie.

 

Cela, des journalistes étrangers dont la vue est brouillée par une grande quantité de préjugés et de clichés, ne veulent pas le savoir ni le reconnaître. Qu’importe. Mais quand deux individus ont fait des aveux sans ambiguïté et qu’ils ont reconnu les faits, l’un en parlant de sa femme gravement malade, l’autre en évoquant son espoir d’acheter des chevaux, certains de leurs confrères cherchent à les disculper d’une manière où la déontologie est largement sacrifiée. Il fallait s’y attendre.

 

Plus le Maroc avance, plus ses ennemis cherchent à lui nuire. Tous les diplomates sérieux le savent et certains le disent : Il existe un lobby anti-marocain assez puissant, bien financé et surtout dissimulé dans des fonctions banales. Ce lobby n’est pas composé que de mercenaires étrangers. On suppose que quelques Marocains y travaillent. Le fait que le Maroc réussit presque tous les mois  à démanteler des réseaux terroristes, le fait aussi que ni Al Qaeda ni Daech n’ont réussi à s’y implanter et à causer le malheur, le fait que ce pays est stable et avance sur la voie de la démocratie (voir les dernières élections locales et régionales, dont personne n’a nié la transparence), le fait qu’il constitue une exception dans le monde arabe, énerve et enrage ses ennemis.

 

J’ai fait ma petite enquête. Le Seuil a signé un contrat avec les deux individus sans qu’ils aient remis ne serait-ce qu’un feuillet écrit, sorte de synopsis. Vu les ventes de leur dernier livre « Le roi prédateur », (d’après Le Seuil, 60 000 exemplaires en comptant aussi l’édition de poche), l’éditeur leur aurait fait confiance. En fait, ils n’ont jamais rien écrit. Ils n’ont produit aucun texte. Le livre dont ils parlent est virtuel. Ils ont reçu de l’éditeur une avance de 40 000 Euros et devaient remettre le texte avant la fin de l’année. Au lieu de l’écrire,  ils ont opté pour un autre métier, une autre façon de faire que je ne qualifierai pas par indulgence.

 

Reste la justice. Elle est lente et complexe. Faisons lui confiance et espérons qu’elle restera sourde à ces bruits et insinuations visant à semer le trouble et à inverser les choses.

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Le Maroc serait coupable ! (C’est ce qu’ils disent !)

Le corporatisme des journalistes crée une faille dans la déontologie. Ainsi, alors que tout accable et accuse Eric Laurent et Catherine Graciet, condamnés le 4 septembre par l’Observatoire de la déontologie de l’information, voilà que des confrères viennent étrangement à leur secours, pas de façon directe mais en passant par le canal bien connu du dénigrement. Ils insinuent au fond que c’est le Maroc qui serait coupable « vus ses antécédents » et que par ce procès, « il intimide les journalistes désireux de critiquer le Maroc ». C’est ainsi depuis des décennies. Il n’y a rien à faire. Le Maroc n’est pas aimé. Mais ce pays ne demande pas à être aimé, simplement à être respecté et traité objectivement. Or dans des articles récents sur cette affaire scandaleuse, les attaques contre le Maroc se font de manière fielleuse semant le doute au point où l’on inverse la situation : de victime, l’Etat marocain passe au banc des accusés. C’est l’histoire de l’agresseur qui se précipite chez le cadi pour déposer plainte contre celui qu’il vient d’agresser et se fait passer pour la vraie victime. Le monde à l’envers.

 

Y en a marre ! Cela dure depuis longtemps. Les citoyens marocains sont assez adultes et libres pour critiquer le gouvernement et dire ce qui ne va pas dans le pays. La société civile, la presse en arabe et en français, sur papier ou sur toile, les intellectuels, les élus sont au fond sévères avec le Maroc. C’est normal et sain. Sans critique, sans opposition, pas de démocratie.

 

Cela, des journalistes étrangers dont la vue est brouillée par une grande quantité de préjugés et de clichés, ne veulent pas le savoir ni le reconnaître. Qu’importe. Mais quand deux individus ont fait des aveux sans ambiguïté et qu’ils ont reconnu les faits, l’un en parlant de sa femme gravement malade, l’autre en évoquant son espoir d’acheter des chevaux, certains de leurs confrères cherchent à les disculper d’une manière où la déontologie est largement sacrifiée. Il fallait s’y attendre.

 

Plus le Maroc avance, plus ses ennemis cherchent à lui nuire. Tous les diplomates sérieux le savent et certains le disent : Il existe un lobby anti-marocain assez puissant, bien financé et surtout dissimulé dans des fonctions banales. Ce lobby n’est pas composé que de mercenaires étrangers. On suppose que quelques Marocains y travaillent. Le fait que le Maroc réussit presque tous les mois  à démanteler des réseaux terroristes, le fait aussi que ni Al Qaeda ni Daech n’ont réussi à s’y implanter et à causer le malheur, le fait que ce pays est stable et avance sur la voie de la démocratie (voir les dernières élections locales et régionales, dont personne n’a nié la transparence), le fait qu’il constitue une exception dans le monde arabe, énerve et enrage ses ennemis.

 

J’ai fait ma petite enquête. Le Seuil a signé un contrat avec les deux individus sans qu’ils aient remis ne serait-ce qu’un feuillet écrit, sorte de synopsis. Vu les ventes de leur dernier livre « Le roi prédateur », (d’après Le Seuil, 60 000 exemplaires en comptant aussi l’édition de poche), l’éditeur leur aurait fait confiance. En fait, ils n’ont jamais rien écrit. Ils n’ont produit aucun texte. Le livre dont ils parlent est virtuel. Ils ont reçu de l’éditeur une avance de 40 000 Euros et devaient remettre le texte avant la fin de l’année. Au lieu de l’écrire,  ils ont opté pour un autre métier, une autre façon de faire que je ne qualifierai pas par indulgence.

 

Reste la justice. Elle est lente et complexe. Faisons lui confiance et espérons qu’elle restera sourde à ces bruits et insinuations visant à semer le trouble et à inverser les choses.

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Le Maroc serait coupable ! (C’est ce qu’ils disent !)

Le corporatisme des journalistes crée une faille dans la déontologie. Ainsi, alors que tout accable et accuse Eric Laurent et Catherine Graciet, condamnés le 4 septembre par l’Observatoire de la déontologie de l’information, voilà que des confrères viennent étrangement à leur secours, pas de façon directe mais en passant par le canal bien connu du dénigrement. Ils insinuent au fond que c’est le Maroc qui serait coupable « vus ses antécédents » et que par ce procès, « il intimide les journalistes désireux de critiquer le Maroc ». C’est ainsi depuis des décennies. Il n’y a rien à faire. Le Maroc n’est pas aimé. Mais ce pays ne demande pas à être aimé, simplement à être respecté et traité objectivement. Or dans des articles récents sur cette affaire scandaleuse, les attaques contre le Maroc se font de manière fielleuse semant le doute au point où l’on inverse la situation : de victime, l’Etat marocain passe au banc des accusés. C’est l’histoire de l’agresseur qui se précipite chez le cadi pour déposer plainte contre celui qu’il vient d’agresser et se fait passer pour la vraie victime. Le monde à l’envers.

 

Y en a marre ! Cela dure depuis longtemps. Les citoyens marocains sont assez adultes et libres pour critiquer le gouvernement et dire ce qui ne va pas dans le pays. La société civile, la presse en arabe et en français, sur papier ou sur toile, les intellectuels, les élus sont au fond sévères avec le Maroc. C’est normal et sain. Sans critique, sans opposition, pas de démocratie.

 

Cela, des journalistes étrangers dont la vue est brouillée par une grande quantité de préjugés et de clichés, ne veulent pas le savoir ni le reconnaître. Qu’importe. Mais quand deux individus ont fait des aveux sans ambiguïté et qu’ils ont reconnu les faits, l’un en parlant de sa femme gravement malade, l’autre en évoquant son espoir d’acheter des chevaux, certains de leurs confrères cherchent à les disculper d’une manière où la déontologie est largement sacrifiée. Il fallait s’y attendre.

 

Plus le Maroc avance, plus ses ennemis cherchent à lui nuire. Tous les diplomates sérieux le savent et certains le disent : Il existe un lobby anti-marocain assez puissant, bien financé et surtout dissimulé dans des fonctions banales. Ce lobby n’est pas composé que de mercenaires étrangers. On suppose que quelques Marocains y travaillent. Le fait que le Maroc réussit presque tous les mois  à démanteler des réseaux terroristes, le fait aussi que ni Al Qaeda ni Daech n’ont réussi à s’y implanter et à causer le malheur, le fait que ce pays est stable et avance sur la voie de la démocratie (voir les dernières élections locales et régionales, dont personne n’a nié la transparence), le fait qu’il constitue une exception dans le monde arabe, énerve et enrage ses ennemis.

 

J’ai fait ma petite enquête. Le Seuil a signé un contrat avec les deux individus sans qu’ils aient remis ne serait-ce qu’un feuillet écrit, sorte de synopsis. Vu les ventes de leur dernier livre « Le roi prédateur », (d’après Le Seuil, 60 000 exemplaires en comptant aussi l’édition de poche), l’éditeur leur aurait fait confiance. En fait, ils n’ont jamais rien écrit. Ils n’ont produit aucun texte. Le livre dont ils parlent est virtuel. Ils ont reçu de l’éditeur une avance de 40 000 Euros et devaient remettre le texte avant la fin de l’année. Au lieu de l’écrire,  ils ont opté pour un autre métier, une autre façon de faire que je ne qualifierai pas par indulgence.

 

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Y en a marre ! Cela dure depuis longtemps. Les citoyens marocains sont assez adultes et libres pour critiquer le gouvernement et dire ce qui ne va pas dans le pays. La société civile, la presse en arabe et en français, sur papier ou sur toile, les intellectuels, les élus sont au fond sévères avec le Maroc. C’est normal et sain. Sans critique, sans opposition, pas de démocratie.

 

Cela, des journalistes étrangers dont la vue est brouillée par une grande quantité de préjugés et de clichés, ne veulent pas le savoir ni le reconnaître. Qu’importe. Mais quand deux individus ont fait des aveux sans ambiguïté et qu’ils ont reconnu les faits, l’un en parlant de sa femme gravement malade, l’autre en évoquant son espoir d’acheter des chevaux, certains de leurs confrères cherchent à les disculper d’une manière où la déontologie est largement sacrifiée. Il fallait s’y attendre.

 

Plus le Maroc avance, plus ses ennemis cherchent à lui nuire. Tous les diplomates sérieux le savent et certains le disent : Il existe un lobby anti-marocain assez puissant, bien financé et surtout dissimulé dans des fonctions banales. Ce lobby n’est pas composé que de mercenaires étrangers. On suppose que quelques Marocains y travaillent. Le fait que le Maroc réussit presque tous les mois  à démanteler des réseaux terroristes, le fait aussi que ni Al Qaeda ni Daech n’ont réussi à s’y implanter et à causer le malheur, le fait que ce pays est stable et avance sur la voie de la démocratie (voir les dernières élections locales et régionales, dont personne n’a nié la transparence), le fait qu’il constitue une exception dans le monde arabe, énerve et enrage ses ennemis.

 

J’ai fait ma petite enquête. Le Seuil a signé un contrat avec les deux individus sans qu’ils aient remis ne serait-ce qu’un feuillet écrit, sorte de synopsis. Vu les ventes de leur dernier livre « Le roi prédateur », (d’après Le Seuil, 60 000 exemplaires en comptant aussi l’édition de poche), l’éditeur leur aurait fait confiance. En fait, ils n’ont jamais rien écrit. Ils n’ont produit aucun texte. Le livre dont ils parlent est virtuel. Ils ont reçu de l’éditeur une avance de 40 000 Euros et devaient remettre le texte avant la fin de l’année. Au lieu de l’écrire,  ils ont opté pour un autre métier, une autre façon de faire que je ne qualifierai pas par indulgence.

 

Reste la justice. Elle est lente et complexe. Faisons lui confiance et espérons qu’elle restera sourde à ces bruits et insinuations visant à semer le trouble et à inverser les choses.

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Le Maroc serait coupable ! (C’est ce qu’ils disent !)

Le corporatisme des journalistes crée une faille dans la déontologie. Ainsi, alors que tout accable et accuse Eric Laurent et Catherine Graciet, condamnés le 4 septembre par l’Observatoire de la déontologie de l’information, voilà que des confrères viennent étrangement à leur secours, pas de façon directe mais en passant par le canal bien connu du dénigrement. Ils insinuent au fond que c’est le Maroc qui serait coupable « vus ses antécédents » et que par ce procès, « il intimide les journalistes désireux de critiquer le Maroc ». C’est ainsi depuis des décennies. Il n’y a rien à faire. Le Maroc n’est pas aimé. Mais ce pays ne demande pas à être aimé, simplement à être respecté et traité objectivement. Or dans des articles récents sur cette affaire scandaleuse, les attaques contre le Maroc se font de manière fielleuse semant le doute au point où l’on inverse la situation : de victime, l’Etat marocain passe au banc des accusés. C’est l’histoire de l’agresseur qui se précipite chez le cadi pour déposer plainte contre celui qu’il vient d’agresser et se fait passer pour la vraie victime. Le monde à l’envers.

 

Y en a marre ! Cela dure depuis longtemps. Les citoyens marocains sont assez adultes et libres pour critiquer le gouvernement et dire ce qui ne va pas dans le pays. La société civile, la presse en arabe et en français, sur papier ou sur toile, les intellectuels, les élus sont au fond sévères avec le Maroc. C’est normal et sain. Sans critique, sans opposition, pas de démocratie.

 

Cela, des journalistes étrangers dont la vue est brouillée par une grande quantité de préjugés et de clichés, ne veulent pas le savoir ni le reconnaître. Qu’importe. Mais quand deux individus ont fait des aveux sans ambiguïté et qu’ils ont reconnu les faits, l’un en parlant de sa femme gravement malade, l’autre en évoquant son espoir d’acheter des chevaux, certains de leurs confrères cherchent à les disculper d’une manière où la déontologie est largement sacrifiée. Il fallait s’y attendre.

 

Plus le Maroc avance, plus ses ennemis cherchent à lui nuire. Tous les diplomates sérieux le savent et certains le disent : Il existe un lobby anti-marocain assez puissant, bien financé et surtout dissimulé dans des fonctions banales. Ce lobby n’est pas composé que de mercenaires étrangers. On suppose que quelques Marocains y travaillent. Le fait que le Maroc réussit presque tous les mois  à démanteler des réseaux terroristes, le fait aussi que ni Al Qaeda ni Daech n’ont réussi à s’y implanter et à causer le malheur, le fait que ce pays est stable et avance sur la voie de la démocratie (voir les dernières élections locales et régionales, dont personne n’a nié la transparence), le fait qu’il constitue une exception dans le monde arabe, énerve et enrage ses ennemis.

 

J’ai fait ma petite enquête. Le Seuil a signé un contrat avec les deux individus sans qu’ils aient remis ne serait-ce qu’un feuillet écrit, sorte de synopsis. Vu les ventes de leur dernier livre « Le roi prédateur », (d’après Le Seuil, 60 000 exemplaires en comptant aussi l’édition de poche), l’éditeur leur aurait fait confiance. En fait, ils n’ont jamais rien écrit. Ils n’ont produit aucun texte. Le livre dont ils parlent est virtuel. Ils ont reçu de l’éditeur une avance de 40 000 Euros et devaient remettre le texte avant la fin de l’année. Au lieu de l’écrire,  ils ont opté pour un autre métier, une autre façon de faire que je ne qualifierai pas par indulgence.

 

Reste la justice. Elle est lente et complexe. Faisons lui confiance et espérons qu’elle restera sourde à ces bruits et insinuations visant à semer le trouble et à inverser les choses.