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le coronavirus n’est pas un poisson d’avril

Il est coutume de faire des canulars dans les médias, aussi bien presse écrite, radio, télévision que sur Internet, le premier avril de chaque année. Lors d’une crise pétrolière la télévision belge avait annoncé la découverte d’un gisement pétrolifère dans le quartier Louise, un chic quartier de la capitale. Mais cette année le cœur n’y est pas. (dessin extrait d’internet).

En Thaïlande, les blagues autour du coronavirus sont réprimées, comme par exemple de se déclarer infecté(e) alors qu’on ne l’est pas vraiment. Dans un message sur Twitter, les autorités ont indiqué que ce genre de plaisanterie serait passible de prison ferme allant jusqu’à cinq ans.

En Corée du sud un chanteur populaire, Kim Jaejoong, a posté sur son compte Instagram qu’il avait été testé positif au Covid-19, déclenchant une avalanche de messages de compassion et de souhaits de guérison de la part de ses fans.
Une heure plus tard, l’artiste a affirmé qu’il s’agissait d’une blague… La présidente de Taïwan, Tai Ing-wen, a même fait savoir sur son compte Facebook que quiconque se permettrait de faire des plaisanteries sur le Covid-19 serait puni.
La diffusion de fausses informations sur le virus est passible de trois ans de prison et d’une amende qui peut dépasser les 90.000 euros.

L’Inde s’attaque surtout aux « fake news » concernant le coronavirus. Dans l’Etat du Maharashtra, le gouvernement interdit toute fausse information susceptible de créer la panique ou de faire naître des rumeurs. Le Maroc passe à l’action en arrêtant plusieurs personnes dans différentes villes pour « propagation de fausses rumeurs » sur le Covid-19. Ceci dans le cadre d’une récente loi à propos de ce qu’on appelle les « fake news ».

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