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Une quatrième personne est décédée d’une contamination au saumon aux Pays-Bas. Au total, plus de 1.000 personnes ont été contaminées. Des produits ont déjà été rappelés en Belgique.

Une quatrième personne est décédée aux Pays-Bas d’une infection à la salmonelle, après avoir mangé du saumon fumé contaminé, a indiqué vendredi l’institut royal néerlandais pour la santé publique et l’environnement (RIVM). Des analyses sont en cours pour déterminer si une contamination à la salmonelle est à l’origine du décès d’un autre patient, a fait savoir le RIVM.

Plus de 1.000 personnes contaminées

Trente-sept nouveaux cas de contamination à la Salmonella Thompson ont été signalés au RIVM la semaine dernière. Au total, 1.063 personnes ont été contaminées après avoir mangé du saumon fumé de l’entreprise Foppen, située à Harderwijk, a indiqué le RIVM. La semaine d’avant, 76 nouveaux cas avaient été signalés.

Des produits rappelés en Belgique

Le nombre réel de malades peut cependant être plus élevé car il n’y a pas d’obligation de signaler un cas d’infection à la salmonelle. Plusieurs produits ont déjà été rappelés en Belgique.

Ils ont 17 ans et ont été interpellés mercredi en France. Leur délit: ils ont passé une annonce sur internet de leur larcin.

De jeunes voleurs ont été confondus par les enquêteurs parce qu’ils avaient cherché à vendre leur butin par le biais d’une petite annonce publiée sur internet, a-t-on appris vendredi auprès des gendarmes de Graulhet, dans le département français du Tarn. La MJC (maison des jeunes et de la culture) de cette petite ville de 12.000 habitants avait été cambriolée dans la nuit de samedi à dimanche. Les voleurs, entrés par effraction en forçant une porte et une fenêtre à coups de pieds, se sont emparés de consoles de jeux, de manettes et des DVD de jeux, a déclaré à l’AFP le lieutenant Bertrand Collot, commandant de la brigade territoriale de Graulhet.

Deux jeunes de 17 ans arrêtés

Quelques heures après les faits, une petite annonce est passée sur un site populaire de vente en ligne, dressant très exactement la liste des objets dérobés. Avec ces informations, les gendarmes sont rapidement remontés jusqu’aux auteurs supposés du cambriolage. « C’était quand même troublant d’avoir une annonce avec le même préjudice, on a fait des vérifications et tout concordait », a dit le lieutenant Collot. Deux mineurs de 17 ans ont été interpellés mercredi. Ils seront convoqués ultérieurement par la justice des mineurs.